Pour combler son besoin de stabilité, Yana a décidé de passer de l’horeca aux assurances. En tant que Customer Service Representative, elle représente le premier point de contact pour les clients. « Je ne peux pas me passer du contact humain », explique Yana.
Yana : Je devais vraiment m’habituer. Je ne connaissais pas du tout le monde des assurances, donc tout était nouveau pour moi. La langue des assurances, les contrats, les programmes... C’est un véritable défi de rapidement trouver ses marques, mais je pouvais toujours poser des questions à mes collègues. Dès le premier jour, ils m’ont super bien accueillie et aidée pour apprendre les ficelles du métier. En tant que nouvelle, j’ai réellement apprécié le fait de sentir que je n’étais pas seule.
Yana : Chaque question est différente et aucun contrat n’est le même. Il faut donc toujours garder l’esprit éveillé. C’est tout sauf un emploi routinier. Et il faut bien sûr avoir de bonnes compétences relationnelles. Vous devez savoir écouter et faire preuve d’empathie, mais aussi avoir une certaine confiance en vous. Les personnes s’adressent à vous pour avoir des réponses, donc vous devez être certain de votre réponse et cela doit se ressentir par téléphone.
Les personnes vous sont reconnaissantes de réussir à rendre une période difficile un peu plus supportable.
Yana : Les interactions avec les clients. J’ai vraiment besoin de ces contacts humains. De ce point de vue là, mon job actuel ne diffère pas beaucoup de mon travail précédent : les personnes demandent quelque chose et je réponds à la question. Je leur offre un service. Les personnes vous sont reconnaissantes de réussir à rendre une période difficile un peu plus supportable. J’éprouve beaucoup de satisfaction quand je reçois cette confirmation directe.
Yana : Je ne pourrais pas rêver d’une meilleure équipe. On est très soudés. Étant donné que l’on traite des assurances hospitalisation, les histoires que l’on écoute sont parfois poignantes. C’est parfois impossible de se les sortir de la tête. Si cela arrive, je peux toujours trouver du soutien auprès de mes collègues. Et si vous voulez souffler cinq minutes pour vous changer les idées avant de reprendre l’appel suivant, ce n’est jamais un problème. Tout le monde est prêt à vous aider. Je peux aussi parler librement à mes responsables et je me sens vraiment écoutée.
Yana : Actuellement : la stabilité. J’ai travaillé dans l’horeca et cela commençait à me peser. Mon copain et moi vivons ensemble, mais on ne faisait que se croiser. Quand il rentrait à la maison, je devais travailler, et inversement. J’avais besoin de calme dans ma tête et d’un rythme « plus normal ». Une amie qui travaille depuis des années chez Vanbreda m’a alors conseillé de postuler ici. J’ai maintenant un job du lundi au vendredi avec des horaires de bureau et cela me convient très bien. Je peux aussi faire du télétravail pour que mon chien ne se sente pas trop seul. Je n’ai vraiment pas à me plaindre en ce qui concerne mon équilibre travail-vie privée.
Je travaillais dans l’horeca, mais j’avais besoin de stabilité et d’un rythme de travail « plus normal ».
Yana : Vous pouvez évoluer en permanence. Au sein du Customer Service, il y a par exemple des spécialistes de domaine, à savoir des collègues avec une expertise spécifique dans un certain secteur. J’ai récemment commencé un parcours pour devenir spécialiste de domaine. Les possibilités d’évolution intéressantes ne manquent donc pas, tant au sein de votre propre département qu’ailleurs dans l’entreprise. De cette manière, le travail reste stimulant.
Yana : Tout le monde m’accepte comme je suis. Je ne corresponds pas au profil type que les gens s’imaginent pour un travailleur dans les assurances. J’ai des tatouages, des piercings et j’ai parfois des coupes de cheveux atypiques. Mais je peux tout simplement rester moi-même ici. Chez Vanbreda, tout le monde se base sur vos compétences et sur votre approche, pas sur votre apparence. Et j’apprécie cet état d’esprit.
Yana : Même si vous n’avez pas de connaissances dans les assurances ou si vous ne savez pas ce qui vous intéresse ou quels sont vos talents, il y a beaucoup d’opportunités ici. Je dirais de ne pas hésiter et de juste essayer. Je n’aurais jamais pensé atterrir dans le monde des assurances. Mais je suis très contente de m’être lancée.
Eline s’épanouit pleinement depuis onze ans. « À l’époque, je cherchais un travail avec des horaires réguliers que je pouvais combiner avec mon master en droit international. Vanbreda m’a offert cette possibilité. Je peux déployer mes talents et rester fidèle à la pipelette que je suis. »
Karlien travaille depuis le début de sa carrière chez Vanbreda Risk & Benefits. « On bénéficie d’une grande liberté, d’une grande autonomie et on a son mot à dire. Je peux télétravailler régulièrement et agencer mon planning comme bon me semble. Ce sont les raisons pour lesquelles je me sens entièrement moi-même ici. »
Laura a trouvé une famille chez Vanbreda. « En toute franchise, j’ai été un peu surprise. Je viens de la région et je connaissais le bâtiment de Vanbreda. Je n’ai pas été immédiatement attirée, mais dès que j’y ai mis les pieds et que j’ai découvert l’ambiance, j’ai compris qu’il y faisait bon vivre. »
Vincent travaille en tant que Broker Corporate & International, un métier dans lequel le travail d’équipe prime. « Chacun a sa spécialité et sa façon de travailler pour atteindre ses objectifs. Par ailleurs, nous nous entraidons et apprenons les uns des autres. »